vendredi 9 août 2013

Nous savons que notre cerveau mémorise plus facilement les informations reliées à une expérience émotionnellement significative pour nous, qu’elle soit positive ou négative. C’est ce qui explique que nous avons peine à nous libérer d’une expérience douloureuse et que nous gardons en mémoire les événements heureux. 

Serge Drouin
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Apprenez à vous détacher des sentiments qui vous rendent captifs du charme de leur jeunesse. L’attrait du nouveau-né est essentiel pour créer une relation affective entre le parent et son enfant. Mais si cette relation d’intimité affective prend trop de place lorsque les enfants avancent en âge, cela empêchera les parents d’être objectifs et persévérants quand ils guideront leurs enfants. 

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Il faut se départir de certaines croyances qui nous infantilisent et nous culpabilisent. Elles nous infantilisent parce qu’elles donnent de l’importance à des entités comme le cœur, l’âme ou autres qui communiqueraient d’une façon indépendante de nous. Je ne remets pas en question l’existence de ces entités, mais le fait que certaines personnes les placent au-dessus de nous. De ce fait, elles gardent leur esprit ignorant de l’importance de notre cerveau, car c’est lui qui nous fait ressentir nos émotions. 

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Simple comme information! Tout le monde sait cela! Mais tout le monde ne réalise pas que nous ne contrôlons pas notre cerveau. Pour lui rien n’est bien ou mal. Il exécute l’information qu’il a mémorisée en lui. Ce sont ses références qui le feront réagir et rien d’autre! Une information qui est profondément enregistrée ou bien conditionnée ne changera pas par le simple fait que je désire que mon comportement change.

Notre cerveau n’a pas de sentiment. Il exécute le contenu de ses informations qui lui servent de références afin d’imposer une pensée, une émotion ou un sentiment selon ce qui se présente à lui.

On aura beau pleurer et crier, si l’information prioritaire demeure, notre cerveau continuera à nous faire agir d’une façon que nous n’aimons pas. Il ne fait que son travail selon ce que ses références lui imposent. Lorsque nous ne reconnaissons pas ce fait, nous considérons - à tort- que nous sommes responsables de nos sentiments de bonheur ou de malheur. Ce sentiment culpabilisant sera amplifié par les conseils de personnes ou par des livres qui nous invitent à avoir du pouvoir sur nos pensées, émotions et sentiments négatifs quand nous sommes incapables d’enlever l’effet des substances émises par notre cerveau qui les provoque. 


Serge Drouin
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